Archives de catégorie : Journal du collège

Les 5ème B et le printemps de poètes

Cette année, plusieurs classes du collège ont fêté le Printemps des poètes.

Les élèves de 5ème B, avec Mme Muller, leur professeur de français, ont choisi un objet qui leur évoquait un souvenir heureux. Ils ont cherché des mots évoquant cet objet et ce souvenir afin de réaliser un nuage de mots. Ils ont écrit un poème sur cet objet. Les réalisations finales ont été accrochées un peu partout dans le collège.

Pour voir les réalisations, clique sur le lien ci-dessous

printemps_poetes_5B

Petit montage photo de l’accrochage des poèmes au collège

 

Le 1er mai

source :https://pixabay.com/fr/muguet-lilly-of-the-valley-png-2264835/

Pourquoi le 1er mai est un jour férié ?

Depuis 1947, le 1er mai est un jour férié et payé. Ce jour célèbre le travail, le droit d’expression du monde ouvrier et des syndicats et la lutte pour une journée de travail de 8 heures pour l’ensemble des travailleurs. Son origine remonte à l’an 1886, aux Etats-Unis. C’est, depuis, un jour de protestation pour les syndicats ouvriers, qui défendent les  travailleurs pour avoir de meilleurs salaires, contre le chômage et pour montrer aux dirigeant qu’ils sont forts et unis.

Mais le 1er mai, c’est aussi une journée de repos et l’occasion d’offrir du muguet porte-bonheur.

source : https://pixabay.com/fr/muguet-clochettes-fleurs-1er-mai-2278643/

 

Pourquoi le muguet le 1er mai ?

La plante à clochettes a toujours symbolisé le printemps et les Celtes lui accordaient un statut de porte-bonheur. Le 1er mai 1561, le roi Charles IX officialisa les choses. Ayant reçu à cette date un brin de muguet, il décida d’en offrir chaque année aux dames de la cour. La tradition était née.

 

 

 

sources : hellokids.com/c_9413/actualites/pourquoi-le-1er-mai-est-il-ferie.fr

1jour1actu n°112

 

Lilou 6A et Elea 6D

 

 

La langue des signes

La langue des signes

Clara D., Laure et Clara C. vous proposent quelques mots en langage des signes.

Les langues des signes désignent les langues gestuelles (produites par les mouvements des mains, du visage et du corps dans son ensemble) que les personnes sourdes ont développées pour communiquer. Elles assurent toutes les fonctions remplies par les langues orales.

Comment les personnes sourdes s’expriment -elles ?

https://pixabay.com/fr/mains-langue-des-signes-cercle-541830/

La plupart des personnes sourdes communiquent entre elles en « signant  » , c’est-à-dire en parlant un langage gestuel. A chaque mot correspond un signe. Ces signes se font avec les mains et l’expression du visage. Des écoles, collèges et lycées proposent de l’apprendre à tous.

Pour communiquer avec les entendants, on fait appel à des interprètes en langue des signes. Ils traduisent du français oral en langue des signes et inversement. On en voit parfois à la télévision, dans les hôpitaux, les théâtres…

Lire sur les lèvres

Une personne sourde peut apprendre à lire sur les lèvres. Pour l’aider, son interlocuteur peut utiliser le «  langage parlé complété », le LPC. Le LPC accompagne la langue orale avec des gestes pour mieux la faire comprendre. Cela permet , par exemple, de mieux distinguer le P, le B et le M, qui forment le même geste sur les lèvres.

 HISTORIQUE DE LA LANGUE DES SIGNES C’est en Espagne au XVIème siècle que l’on trouve les premiers éducateurs pour sourds notamment le moine bénédictin Pedro Ponce de Léon (1520-1584). Mais ce n’est qu’en 1620 que le premier livre sur l’éducation des sourds sera publié par Juan Pablo BONET (1579-1633).

Editions Circonflex

Si vous voulez en savoir plus, n’hésitez pas à consulter le livre « Précis de la langue des signes françaises » qui se trouve au CDI.

Nouvel an chinois

 

A l’occasion du nouvel an chinois, l’équipe de la cantine a proposé aux élèves un menu chinois.

Des élèves volontaires ont réalisé des affiches pour découvrir cette fête.

 

 

 

 

 

Le nouvel an chinois a eu lieu  le 16 février 2018.

L’ année du chien de Terre a commencé le 16 février 2018 et se terminera le 9 février 2019. Les Chinois représentent les années avec des animaux. L’année dernière c’était l’année du coq, et l’année prochaine ce sera l’année du cochon. Les signes se renouvellent tous les 12 ans.( il y a 12 signes)

 

Cette fête est un moment dont profitent les Chinois en prenant des vacances et en se réunissant en famille. Les festivité durent environ quinze jours, à partir de la nouvelle lune jusqu’à la première pleine lune de l’année, qui correspond à la fête des lanternes. Toutes les festivités servent à chasser les mauvaises influences et souhaiter un nouvel an béni.

Au douze coups de minuit, on fait éclater des pétards et des feux d’artifices, ce sont les rois du nouvel an chinois. L’année dernière plus de 69 tonnes de pétards et de feu ont été tirés dans les rue de Beijing pendant la première nuit de fête. Pour décorer leurs maisons les Chinois collent des papiers découpés sur les fenêtres.

source : wikimedia

Le dîner de la veille du Nouvel An lunaire est très important. Les repas sont différents selon les régions. Les Chinois du nord mangent des raviolis en forme de croissant de lune. En plus des raviolis, on mange aussi des nouilles, des gâteaux de riz glutineux, aussi des boulettes de riz glutineuses farcies.

 

TANGYUAN ⇒ c’est une petite boule de farine fait à base de riz gluant le plus souvent consommé dans une soupe d’eau sucrée ou encore dans un bouillon de viande. Elles peuvent aussi être colorées.

 

Tous ces plats sont des plats traditionnels pour les Chinois qui ont une signification spéciale.

Exemples : un poulet entier assure la santé pour toute la famille, les raviolis portent bonheur, le gâteau de riz symbolise la richesse, la nouille symbolise la longévité, tandis que le Niangao ( gâteau à base de fruits secs .) (traduction littérale : année élevée) signifie l’élévation du niveau de vie d’année en année. Nous avons aussi l‘aliment Tangyuan qui est le symbole de la grande réunion familiale.

Le troisième jour de la fête est un moment fort. Le matin, les familles doivent se lever sans bruit pour ne pas déranger les souris qui habitent les maisons. Ce jour là seulement, les souris ont le droit de grignoter de la nourriture que l’on dépose pour elles aux quatre coins de la maison.

source : pixabay

C’est aussi le jour où l’on assiste à la danse du lion ( le lion est associé à la légende du monstre mythologique nommé Nian, et représenté avec une corne unique. L’un des danseurs contrôle la tête et l’autre anime le corp et la queue sous le costume, qui est relié jusqu’à la tête du lion. Des instruments accompagnent cette danse. Souvent, des jeunes gens passent devant le lion avec une balle et essaient de l’attirer.

Après le repas, les enfants font le tour de la famille pour présenter leurs vœux. Les adultes leurs offrent des «hong-bao», ce sont de petites enveloppes rouges qui contiennent de l’argent. On s’offre aussi des porte-bonheurs, comme les clémentines qui favorisent la chance.

source : pixabay

Le dernier jour, on assiste au spectacle le plus grandiose ⇒ La danse du dragon. Pendant l’année, des compagnies construisent de magnifiques dragons de soie et de papier, dont le corps est maintenu par des perches de bambous. Ils mesurent 8 à 10 mètres de long et ont une grosse tête qui pèse jusqu’à 10 kilos. Si la danse a lieu le soir, les dragons sont illuminés par des bougies placées à l’intérieur de leurs corps.

Anaïs et Julie

 

Marie et la danse : épisode 3 « Etirements et grand écart »

Généralement, quand on pense à la danse, on pense à la souplesse. Or, l’un des symboles de la souplesse est le grand écart !

Attention : il est très important de s’échauffer et de s’étirer. En classique, on passe d’abord à la barre pour faire des exercices tels que :

  • les pliés
  • les dégagés
  • les jetés
  • les frappés
  • les ronds-de-jambes
  • les grands battements
  • les fondus
  • les pieds-dans-la-main
  • …..

En jazz, nous faisons aussi des sauts, du gainage et des abdos.

Puis, seulement après tout cela, nous passons au grand écart.

Voici quelques exercices que vous pouvez essayer, pour vous étirer, avant de s’essayer au grand écart :

Cet exercice consiste à toucher ses pieds avec ses mains en essayant d’avoir le dos le plus droit possible.

Attention, les jambes doivent être droites pour que l’exercice fonctionne.

 

Pour réaliser celui-ci, vous devez commencer (par exemple) par vous mettre à genoux et tendre la jambe droite en avant, puis avancer le poids du corps sur celle-ci. Ensuite, il faut attraper son pied gauche avec son bras droit. À vous de juger si cela vous fait déjà « mal », sinon vous pouvez avancer les hanches et en ramenant le pied vers l’avant, lui aussi. Répétez ça des 2 côtés.

 

Pour que cet exercice serve à quelque chose, il faudra être patient(e) ; vous pouvez par exemple prendre un livre ou faire un jeu sur votre téléphone et vous aurez besoin d’un mur : premièrement, couchez-vous perpendiculairement contre celui-ci puis montez les jambes le long du mur. De cette façon, votre corps devrait former un angle droit. Ensuite, faites glisser vos jambes le long du mur (la droite à droite et la gauche à gauche)

Attention : vos 2 jambes doivent être tendues !

 

Quatrième exercice : les grands battements. Cet exercice vous fera aussi brûler des calories. Positionnez-vous debout et, à la même fréquence, levez la jambe droite le plus haut possible, puis redescendez-la en maîtrisant la descente. Vous pouvez mettre de la musique pour vous aider à garder le tempo. Refaites la même chose avec la jambe gauche.

 

Pendant les cours, nous appelons cet étirement le « pied-dans-la-main ». Et comme son nom l’indique, il consiste à attraper son pied droit avec sa main droite et de tendre les deux jambes. Pour que cela soit plus efficace, il existe une variante qui consiste à tendre sa jambe devant son nez en pliant la jambe de terre (dans ce cas la jambe gauche) avant de passer sa jambe droite sur le côté et de tendre la gauche. Répétez cela de l’autre côté.

 

Après s’être bien étiré(e) et échauffé(e), vous pouvez essayer le grand écart. Premièrement, vous pouvez poser le genou arrière et poser les coudes, ensuite essayez de tende la jambe arrière en vous imaginant repousser un mur avec votre pied. Le but est encore une fois d’avoir les deux jambes tendues.

 
  Et voilà, mon article sur les étirements est terminé. J’espère qu’il vous aura plu et qu’il vous aura donné envie d’essayer quelques uns de ces exercices !
En tout cas, j’ai aimé vous parler de mon expérience même si, je le précise, je ne suis pas du tout une professionnelle…

Photos et explications de Marie, 3eB.

 

 

 

Marie et la danse : épisode 2 « Tuto chignon »

Réussir à se faire un beau chignon soi-même est une étape complexe.

Voilà un petit tuto :

  • Première étape :

Se faire une belle queue de cheval, plus ou moins haute. Moi, en général, je préfère me faire un chignon haut.

  • Deuxième étape :

Premièrement, il faut torsader les cheveux, puis enrouler les cheveux autour de l’élastique dans le même sens que celui dans lequel vous avez torsadé. Pour fixer les cheveux, utilisez une pince à chignon.

 
  • Troisième étape :

Mettre le filet à chignon est une étape délicate, car un filet se troue très vite. Si vous avez un filet qui nécessite de faire plusieurs tours autour du chignon, je vous conseille de l’enrouler auparavant autour de votre poing.

 
  • Quatrième étape :

Pour que le chignon ne bouge plus sur votre tête, il est nécessaire d’utiliser des pinces à chignon (entre 5 et 15). La technique est de planter les pinces perpendiculairement au crâne dans le bord du chignon puis de les enfoncer, les piques vers le centre.

 
  • Cinquième étape :

Pour assurer une longue tenue à votre coiffure, fixez le tout avec des pinces plates et de la laque.

 

A votre tour d’essayer de reproduire cette coiffure !

N’hésitez pas à m’envoyer une photo ou à laisser un commentaire.

Photos et explications de Marie 3eB.

Marie et la danse : épisode 1 « Présentation »

Mon école et moi :

A l’âge de 7 ans, ma mère m’a demandé de réfléchir à un sport que je pourrais faire en plus de l’équitation. Elle m’a proposé la danse, puisque j’avais des connaissances qui pratiquaient déjà ce sport. Nous sommes allées voir les galas de plusieurs écoles et c’est celui de Coralie Lengert qui m’a le plus plu.

J’ai commencé avec la danse modern-jazz, jusqu’en 2016 où j’ai commencé la danse classique en plus.

Nous sommes 19 en jazz et 15 en classique et nous ne sommes que des filles, entre 12 et 15 ans. Les plus jeunes élèves de l’école ont 4 ans et il y a des adultes.

Chaque fin d’année, se déroule un gala dont le thème change d’année en année. Seules les élèves peuvent être au courant de celui-ci jusqu’à la distribution des flyers.

Mais voici les thèmes des spectacles des années précédentes :

  • 2011 : le cabaret
  • 2012 : les jeux olympiques
  • 2014 : Peter Pan
  • 2015 : mystère à Paris
  • 2016 : American Dream
  • 2017 : rêve d’Orient
  • 2018  : … 

L’école a un site : pour vous renseigner, vous pouvez simplement chercher « école de danse Coralie Lengert » sur un moteur de recherches.

Le site propose aussi un visite virtuelle 360° du « loft » (nom de la salle) :

http://www.coralielengert-danse.fr/wp-content/themes/CoralieLengertDanse/Video/PanotourEcoleDanse.html

Un peu d’histoire :

Les représentations de la danse les plus anciennes datent de la préhistoire.

Les origines de la danse classique (ou ballet) remontent à la Renaissance italienne, mais elle s’est ensuite développée en France et en Russie. Le ballet de l’Opéra de Paris est l’une des plus prestigieuses, mais surtout la plus vieille école de danse classique au monde. Le ballet est aujourd’hui composé de 154 danseurs.

les préjugés :

La danse est souvent soumise à de nombreux clichés :

  • pour faire de la danse, il faut être mince
  • pour faire de la danse, il faut être souple
  • la danse est un sport de filles
  • les garçons qui font de la danse classique sont homosexuels
  • la danse n’est pas un sport … 

Le matériel nécessaire et la tenue pour un cours de danse classique :

  • des collants
  • un justaucorps (+ une jupette si celle-ci n’est pas intégrée au justaucorps)
  • des demi-pointes (chaussons)
  • des pointes
  • des jambières (très rarement en cours normaux, mais pour les danseurs professionnels)
  • un chignon

Marie, 3eB.

Des nouveaux profs au collège Goscinny !

Arrivée de trois nouveaux professeurs au collège René Goscinny

Nous avons interviewé trois nouveaux professeurs arrivés au début de l’année scolaire 2017-2018.

Nous leur avons posé des questions pour apprendre à les connaître.

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Questions posées à Mme Girardot, professeure de français :

– Pourquoi êtes-vous venue au collège ?

J’ai été mutée, après mon année de stage, au collège Goscinny.

– Pourquoi avez-vous eu l’envie d’enseigner le français ?

J’ai toujours aimé lire et écrire. J’aime penser que les histoires nous en apprennent plus sur nous-même.

– Avez-vous été bien accueillie par les autres enseignants ?

Très bien. Ils ont tous été très gentils.

– Dans quel établissement étiez-vous l’année dernière ?

Je me trouvais au collège Châteaudun de Belfort.

– Combien de niveaux de classe avez-vous ?

J’ai des élèves de 6e, de 5e et de 4e.

– Combien de classes avez-vous ?

J’en ai 4.

– Est ce que vous-aimez le collège ?

Oui, c’est un endroit agréable.

– Est ce que vous aimez la cantine ?

Je n’y mange pas.

https://pixabay.com/fr/photos/physicien/

Questions posées à M. Chavanelle, professeur de physique :

– Pourquoi êtes-vous venu au collège ?

Je suis venu au collège, parce qu’on m’a demandé de venir y enseigner.

– Pourquoi avez-vous eu l’envie d’enseigner la Physique – Chimie ?

J’adore ces disciplines qui permettent d’expliquer et de prévoir les résultats d’expériences !

– Avez-vous été bien accueilli par les autres enseignants ?

Oui, très bien.

– Dans quel établissement étiez-vous l’année dernière ?

J’étais au collège Châteaudun, à Belfort.

– Combien de niveaux de classe avez-vous ?

J’en ai 2 : 5e et 4e

– Combien de classes avez-vous ?

J’ai six classes, trois 5e et trois 4e

– Est ce que vous-aimez le collège ?

Oui, les locaux sont agréables et les élèves sont sympathiques. 

– Est ce que vous aimez la cantine ?

Oui, les repas sont variés, équilibrés et généralement très bons !

https://pixabay.com/fr/espagne-la-carte-drapeau-contour-1500646/

Questions posées à M. Leroy, professeur d’espagnol :

– Pourquoi êtes-vous venu au collège ?

J’ai été affecté au collège Goscinny. Ce n’est pas un choix, sachant que j’habite à presque 1h de valdoie !

– Pourquoi avez-vous eu l’envie d’enseigner l’espagnol ?

J’ai un master en anglais et en espagnol. Ayant vécu 4 ans entre Glasgow et Alicoupe (en Espagne), j’ai choisi l’espagnol, étant plus à l’aise à l’oral et ayant une bonne maîtrise de la grammaire. 

– Avez-vous bien été accueilli par les autres enseignants ?

Oui, très bien, l’équipe semble soudée et on m’a ouvert les portes toutes grandes au mois d’octobre. 

– Combien de classes avez-vous ?

Je m’occupe de huit classes.

– Est ce que vous-aimez le collège ?

Je répondrai à cette question en fin d’année. Mais globalement tout se passe bien jusqu’ici.

– Est ce que vous aimez la cantine ?

J’y ai très peu mangé jusque-là, mais je crois savoir qu’on y mange plutôt bien.

Hillary, 5eE.

Assez de neige pour la Transju !

La Transjurassienne a eu lieu les samedi 10 et dimanche 11 février en Franche-Comté. Plus de 4000 personnes ont participé à ces compétitions de ski de fond.

La neige était elle aussi au rendez-vous !

Il y avait plusieurs parcours sur les deux jours : 25, 48 et 56 km en classique ou en libre.

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Crédit photo : K. Griffon

Voici les tracés d’après le site officiel :

La Transju – Courses de ski de fond, trail et vélo en France

  

 

 

Parmi les concurrents, il y avait des amateurs et des professionnels… et des professionnels d’autres sports comme Thibaut Pinot, le cycliste Haut-Saônois !

Certains étaient là aussi pour représenter des associations et les faire connaître, comme l’une d’entre elles pour le don de moëlle osseuse.

Vanina et Lilou, 6A