La transterritoire : 29ème édition

source : pixabay

La transterritoire s’est déroulée le dimanche 30 septembre toute la journée. Ce n’est pas une compétition, mais plusieurs parcours proposés au public. Il n’y a ni chronométrage ni classement. Ce parcours sportif est ouvert à tous.

Différents parcours de 20 à 70 km étaient proposés. (clique sur le parcours pour agrandir l’image)

Parcours vert 20 km
Parcours bleu 30 km
Parcours jaune 40 km
Parcours rouge 50 km
Parcours noir 70 km

L’avis de Prune, élève en classe de 5ème

Transterritoire VTT 2017 : départ à Belfort. (wikimedia)

Quel parcours as-tu fait ? J’ai fait le parcours vert de 20 km.
A quelle heure y es-tu allée ? J’y suis allée vers huit heures.
As-tu trouvé ça long ? Oui très.
Combien de temps as-tu mis ? Nous nous sommes mis en route vers 8h 30 et nous sommes revenus vers 12h00. Je dirais 3h30.
As-tu aimé ? Oui, dans l’ensemble. La plupart du parcours était dans la forêt.
As-tu eu peur ? J’ai souvent eu peur de tomber, le chemin dans la forêt était assez chaotique, mais ce n’est pas arrivé.
Depuis quand fais-tu la transterritoire ? C’était la première fois.
As-tu voulu la faire par toi-même ou t’a-t-on incitée ? Ce sont mes parents qui en ont eu l’idée.
Interview réalisée par Salomé

« Au départ, sur le parking du Technom, il y avait des stands. Il y en a un qui m’a beaucoup plu. C’est celui où on pédalait pour faire un smoothie. En pédalant, on faisait fonctionner le blender. J’ai fait un smoothie banane, fraise et jus de pomme. Il était délicieux ! » Corentin

Transterritoire 2017 (wikimedia)

Certains professeurs du collèges y ont également participé comme Mme Pégeot, M. Piquard , M. Faes, M. Gury…

Prune et Salomé, 5ème A

Rentrée en musique au collège

 

bdr

Lundi 3 septembre, les élèves de 6ème ont fait leur rentrée en musique.

Avec Mme Balzer, professeur d’éducation musicale, les élèves ont appris une chanson qu’ils ont interprètée tous ensemble  dans le Forum du collège en fin de matinée.

La chanson s’intitule « Des gommes et des crayons », elle a été composée par Julien Jacquot, professeur d’éducation musicale au collège d’Héricourt.

Un extrait :

« Des gommes et des crayons

Pour que le monde avance

Partage et cohésion

Pour se donner confiance

Des gommes et des crayons

Pour plus de tolérance… »

De la musique…

 

Je suis Lise-Marie et je pratique la clarinette. J’en fais depuis 4 ans. Je pratique la clarinette au conservatoire de Valdoie. Je suis Jeanne et je fais du piano. C’est ma 5ème année. J’en fais à l’école Valli, à Belfort.

Le 21 juin, c’était la fête de la musique alors, nous avons interviewé des personnes pour avoir leur avis sur la musique.

Deux heures sans portable !

Photo K. Griffon.

Dans le cadre du « Prix des collèges », les 5e D ont eu cinq livres à lire, ils ont réalisé des projets et ont pu rencontrer l’un des écrivains de ces livres.

Le mardi 12 juin, nous avons rencontré Sophie Rigal-Goulard, l’auteure d’un des livres que nous avons lu : « 15 jours sans réseau ». Nous l’avons accueillie au CDI et lui avons montré nos réalisations.

Continuer la lecture de Deux heures sans portable !

Robinsonnade

Les élèves de 5ème B et leur professeur de français, Mme Muller ont travaillé autour du thème de la robinsonnade et ont conçu une exposition qu’ils ont présentée à leurs parents au CDI le lundi 10 juin.

Ils avaient réalisé des affiches, des maquettes, des jeux… et un abécédaire.  Certaines lettres de l’abécédaire renvoyait à un texte, enregistré par les élèves, auquel on avait accès en scannant un QRcode.  Vous pouvez retrouver ces textes lus sur ce site.

 

 

Les 4ème E rencontre Pascale Maret

Dans le cadre du Prix des collèges organisé par la médiathèque départementale, les élèves de 4ème E ont rencontré au CDI Pascale Maret au CDI, l’auteur du roman « Ne t’en fais pas, tout va bien ».

Ce fut l’occasion de lui faire découvrir les travaux réalisés autour du roman en cours de français avec Mme Miscoria-Albietz.

Ensuite, les élèves ont pu poser toutes leurs questions à l’auteur, sur son métier mais aussi sur son oeuvre.

 

 

 

« L’auteur était proche de nous, elle parlait franchement, elle a avoué ses défauts, elle réussit même si elle est parfois paresseuse.  » Théo

« Ce n’est pas une personne réservée, elle a une vie comme tout le monde. » Quentin

« Elle fait ce métier car elle aime cela, pas uniquement pour l’argent. » Evan

« Elle a répondu à toutes nos questions, sa sincérité nous a plu. » Zélie

« J’ai appris que cela prenait du temps pour devenir écrivain et pouvoir en vivre. C’est difficile de se faire une place. Il faut écrire des histoires qui plaisent aux jeunes mais avant tout aux éditeurs. » Maxine

« Elle gagne 4% sur le prix d’un roman. C’est peu ! » Talha

« C’est une passion, on continue même si on ne gagne pas beaucoup d’argent. » Charlotte

« Même si on a beaucoup d’imagination, ça ne suffit pas. Il faut savoir bien écrire, avoir du style. » Quentin

« On peut provoquer l’imagination, en voyageant par exemple. » Juliette

« Elles s’inspirent parfois des conversations des personnes autour d’elle, au restaurant par exemple. » Adnan

« Elle s’inspire  aussi du caractère des personnes autour d’elle, de ses enfants ou des amis de ses enfants.  » Alyssa

« Ou de l’actualité, comme pour le roman « Ne t’en fais pas, tout va bien ». Evan

« Elle ne peut pas tout inventer, elle doit partir du réel, elle ne pourrait pas écrire de science-fiction ou de fantastique. » Théo

« Elle peut travailler chez elle, elle n’est pas obligée de sortir lorsqu’il pleut ou qu’il fait froid, pour elle, c’est un avantage. » Talha

 » Elle écrit encore sur papier,  elle nous a montré son manuscrit. Elle tape le texte sur ordinateur ensuite. » Juliette

« Elle n’a pas pu choisir le titre du roman, elle voulait le titre « Le fils de l’ogre » mais il était déjà pris. Du coup, le titre ne lui correspond pas forcément. » Alyssa

« C’est dommage qu’elle ne puisse pas choisir le titre, on pourrait croire qu’on ne respecte pas son travail, mais l’éditeur pense avant tout à l’aspect commercial » Alicia

« Il y a une bonne entente entre auteurs de littérature de jeunesse, beaucoup d’entraide aussi, ce qui n’est pas le cas entre auteur de littérature adulte. » Théo

« Il n’y a pas de jalousie ni de compétition entre auteurs de littérature de jeunesse. » Juliette

« L’auteur nous a dit que les auteurs de littérature adulte considéraient souvent la littérature de jeunesse comme de la « sous-littérature ». Théo

« Ils se trompent, dans tous les cas il faut conquérir un public. C’est sans doute plus difficile de plaire à des adolescents car on lit moins. » Nathaël