Les 4ème E rencontre Pascale Maret

Dans le cadre du Prix des collèges organisé par la médiathèque départementale, les élèves de 4ème E ont rencontré au CDI Pascale Maret au CDI, l’auteur du roman « Ne t’en fais pas, tout va bien ».

Ce fut l’occasion de lui faire découvrir les travaux réalisés autour du roman en cours de français avec Mme Miscoria-Albietz.

Ensuite, les élèves ont pu poser toutes leurs questions à l’auteur, sur son métier mais aussi sur son oeuvre.

 

 

 

« L’auteur était proche de nous, elle parlait franchement, elle a avoué ses défauts, elle réussit même si elle est parfois paresseuse.  » Théo

« Ce n’est pas une personne réservée, elle a une vie comme tout le monde. » Quentin

« Elle fait ce métier car elle aime cela, pas uniquement pour l’argent. » Evan

« Elle a répondu à toutes nos questions, sa sincérité nous a plu. » Zélie

« J’ai appris que cela prenait du temps pour devenir écrivain et pouvoir en vivre. C’est difficile de se faire une place. Il faut écrire des histoires qui plaisent aux jeunes mais avant tout aux éditeurs. » Maxine

« Elle gagne 4% sur le prix d’un roman. C’est peu ! » Talha

« C’est une passion, on continue même si on ne gagne pas beaucoup d’argent. » Charlotte

« Même si on a beaucoup d’imagination, ça ne suffit pas. Il faut savoir bien écrire, avoir du style. » Quentin

« On peut provoquer l’imagination, en voyageant par exemple. » Juliette

« Elles s’inspirent parfois des conversations des personnes autour d’elle, au restaurant par exemple. » Adnan

« Elle s’inspire  aussi du caractère des personnes autour d’elle, de ses enfants ou des amis de ses enfants.  » Alyssa

« Ou de l’actualité, comme pour le roman « Ne t’en fais pas, tout va bien ». Evan

« Elle ne peut pas tout inventer, elle doit partir du réel, elle ne pourrait pas écrire de science-fiction ou de fantastique. » Théo

« Elle peut travailler chez elle, elle n’est pas obligée de sortir lorsqu’il pleut ou qu’il fait froid, pour elle, c’est un avantage. » Talha

 » Elle écrit encore sur papier,  elle nous a montré son manuscrit. Elle tape le texte sur ordinateur ensuite. » Juliette

« Elle n’a pas pu choisir le titre du roman, elle voulait le titre « Le fils de l’ogre » mais il était déjà pris. Du coup, le titre ne lui correspond pas forcément. » Alyssa

« C’est dommage qu’elle ne puisse pas choisir le titre, on pourrait croire qu’on ne respecte pas son travail, mais l’éditeur pense avant tout à l’aspect commercial » Alicia

« Il y a une bonne entente entre auteurs de littérature de jeunesse, beaucoup d’entraide aussi, ce qui n’est pas le cas entre auteur de littérature adulte. » Théo

« Il n’y a pas de jalousie ni de compétition entre auteurs de littérature de jeunesse. » Juliette

« L’auteur nous a dit que les auteurs de littérature adulte considéraient souvent la littérature de jeunesse comme de la « sous-littérature ». Théo

« Ils se trompent, dans tous les cas il faut conquérir un public. C’est sans doute plus difficile de plaire à des adolescents car on lit moins. » Nathaël

 

 

 

 

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