Le 21 juin, c’était la fête de la musique alors, nous avons interviewé des personnes pour avoir leur avis sur la musique.
Le 21 juin, c’était la fête de la musique alors, nous avons interviewé des personnes pour avoir leur avis sur la musique.
Dans le cadre du « Prix des collèges », les 5e D ont eu cinq livres à lire, ils ont réalisé des projets et ont pu rencontrer l’un des écrivains de ces livres.
Le mardi 12 juin, nous avons rencontré Sophie Rigal-Goulard, l’auteure d’un des livres que nous avons lu : « 15 jours sans réseau ». Nous l’avons accueillie au CDI et lui avons montré nos réalisations.
Les élèves de 5ème B et leur professeur de français, Mme Muller ont travaillé autour du thème de la robinsonnade et ont conçu une exposition qu’ils ont présentée à leurs parents au CDI le lundi 10 juin.
Ils avaient réalisé des affiches, des maquettes, des jeux… et un abécédaire. Certaines lettres de l’abécédaire renvoyait à un texte, enregistré par les élèves, auquel on avait accès en scannant un QRcode. Vous pouvez retrouver ces textes lus sur ce site.
Dans le cadre du Défi Babelio, les élèves de 6ème A et de 6ème D ont réalisé des bandes-annonces pour rendre compte de leurs lectures.
Découvrez quelques-unes de leurs productions.
Les productions des 6ème D (Les6Detectives)
Les productions des 6ème A (LesSuperBabeliens)
Dans le cadre du Prix des collèges organisé par la médiathèque départementale, les élèves de 4ème E ont rencontré au CDI Pascale Maret au CDI, l’auteur du roman « Ne t’en fais pas, tout va bien ».
Ce fut l’occasion de lui faire découvrir les travaux réalisés autour du roman en cours de français avec Mme Miscoria-Albietz.
Ensuite, les élèves ont pu poser toutes leurs questions à l’auteur, sur son métier mais aussi sur son oeuvre.
« L’auteur était proche de nous, elle parlait franchement, elle a avoué ses défauts, elle réussit même si elle est parfois paresseuse. » Théo
« Ce n’est pas une personne réservée, elle a une vie comme tout le monde. » Quentin
« Elle fait ce métier car elle aime cela, pas uniquement pour l’argent. » Evan
« Elle a répondu à toutes nos questions, sa sincérité nous a plu. » Zélie
« J’ai appris que cela prenait du temps pour devenir écrivain et pouvoir en vivre. C’est difficile de se faire une place. Il faut écrire des histoires qui plaisent aux jeunes mais avant tout aux éditeurs. » Maxine
« Elle gagne 4% sur le prix d’un roman. C’est peu ! » Talha
« C’est une passion, on continue même si on ne gagne pas beaucoup d’argent. » Charlotte
« Même si on a beaucoup d’imagination, ça ne suffit pas. Il faut savoir bien écrire, avoir du style. » Quentin
« On peut provoquer l’imagination, en voyageant par exemple. » Juliette
« Elles s’inspirent parfois des conversations des personnes autour d’elle, au restaurant par exemple. » Adnan
« Elle s’inspire aussi du caractère des personnes autour d’elle, de ses enfants ou des amis de ses enfants. » Alyssa
« Ou de l’actualité, comme pour le roman « Ne t’en fais pas, tout va bien ». Evan
« Elle ne peut pas tout inventer, elle doit partir du réel, elle ne pourrait pas écrire de science-fiction ou de fantastique. » Théo
« Elle peut travailler chez elle, elle n’est pas obligée de sortir lorsqu’il pleut ou qu’il fait froid, pour elle, c’est un avantage. » Talha
» Elle écrit encore sur papier, elle nous a montré son manuscrit. Elle tape le texte sur ordinateur ensuite. » Juliette
« Elle n’a pas pu choisir le titre du roman, elle voulait le titre « Le fils de l’ogre » mais il était déjà pris. Du coup, le titre ne lui correspond pas forcément. » Alyssa
« C’est dommage qu’elle ne puisse pas choisir le titre, on pourrait croire qu’on ne respecte pas son travail, mais l’éditeur pense avant tout à l’aspect commercial » Alicia
« Il y a une bonne entente entre auteurs de littérature de jeunesse, beaucoup d’entraide aussi, ce qui n’est pas le cas entre auteur de littérature adulte. » Théo
« Il n’y a pas de jalousie ni de compétition entre auteurs de littérature de jeunesse. » Juliette
« L’auteur nous a dit que les auteurs de littérature adulte considéraient souvent la littérature de jeunesse comme de la « sous-littérature ». Théo
« Ils se trompent, dans tous les cas il faut conquérir un public. C’est sans doute plus difficile de plaire à des adolescents car on lit moins. » Nathaël
Dans le cadre du Défi Babelio, les élèves de 6ème A et de 6ème D ont réalisé des photos-mystères afin de faire deviner les titres de la sélection à leurs camarades.
Découvrez quelques-unes de leurs productions.
Les photos-mystères des 6ème A (LesSuperBabeliens)
Les photos-mystères des 6ème D (Les6Détectives)
Dans le cadre du Défi Babelio, les élèves de 6ème A et de 6ème D ont réalisé des nuages de mots à partir des romans qu’ils ont lus.
Voici leurs productions (clique sur chaque panneau pour l’agrandir)
Nuages de mots réalisés par les 6ème D (Les6Détectives)
Nuages de mots réalisés par les élèves de 6ème A (LesSuperBabeliens)
Vous trouverez ci-dessous la version interactive du bilan du CDI pour l’année 2017-2018.
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vous accéderez aux articles du blog correspondant aux sujets. |
Si le temps de téléchargement est trop long, vous pouvez cliquer ici.
Bonne lecture !
Christine Jeudy
Professeur-documentaliste
Juin 2018
Cette année, dans le cadre du Prix des collèges organisé par la Médiathèque départementale, les élèves de 5ème ont lu cinq romans.
Pour rendre compte de leurs lectures, ils ont réalisé des productions très variées, que vous pouvez découvrir ci-dessous.
Réalisation de nuages de mots
Interview d’Emilie, la jeune héroïne du roman « 15 jours dans réseau »
Interview réalisée par Baptiste, lue par Baptiste et Théo
Interview réalisée par Lola, lue par Hana et Carla
Cartes postales
Q comme Quille